Ils ne travaillent jamais les pieds sur terre. Comme ces acrboates, ils voltigent dans ces places peu accessibles. Les cordistes sécurisent ces falaises ou ces travaux de maçonnerie. Ces travailleurs de l’extrême sont de plus en plus recherchés, mais les profils sont encore rares. En plein cœur de Marseille (Bouches-du-Rhône), ces ouvriers travaillent sur un immeuble de seize étages, plus de 40 m de hauteur comme une vue imprenable sur les environs. Le métier est exigeant comme foulée hormis risque. Chaque ouvrier possède deux corces comme ne peut foulée travailler seul. Ils repeignent intégraux les balcons d’un immeuble.
De rares accidents comme une labeur demandée
‘’Le risque zéro n’existe foulée. Cela nous est déjà arrivé que ces peuplade veuillent nous couper les corces (…) Il faut avoir confiance’’, explique Loïc Joumier, cordiste. Rares sont les accidents. Les cordistes sont de plus en plus demandés, car ils permcommetent d’éviter d’installer ces échafaudages. On salaire actuellement 15 000 cordistes en France.