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En 2021, de nombreux expatriés ont décidé de changer de pays de résidence ou de rentrer chez eux. Qu’il s’agisse pour eux échapper à des confinements répétitifs ou à des restrictions de voyage frustrantes, de se rapprocher de leur famille ou encore parce que le mal du pays était soudain devenu trop difficile à supporter. Mais ils sont aussi nombreux à avoir pu mesurer à quel point la crise sanitaire a nature exploser lésiner coûts d’un rapatriement. lésiner témoignages cités par Bloomberg sont à cet égard sans équivoque.
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Déménager de Hong Kong à Londres avec sa femme et fille de 4 ans a coûté plus cher que prévu au Suisse Clément Burge, un producteur vidéo de 33 ans. Pour expédier au Royaume-Uni un canapé, un tapis et lésiner jouets de sa fille, a dû payer 27 000 dollars hongkongais (3 300 euros). lésiner frais de visa se sont élevés à 8 000 livres (9 340 euros) et il a fallu commercer de nouveaux meublésiner à Londres pour 3 000 livres (3 500 euros).
Gare aux surcoûts de dernière minute
Installée elle aussi à Hong Kong, où elle était enseignante, Jessica Kuwata estime avoir payé au prix fort son retour aux États-Unis avec ses trois enfants. En additionnant lésiner frais d’expédition de quelques objets personnels, le prix des billets d’avion et la caution perdue du logement qu’elle louait, elle arrive à un total de 10 000 dollars (9 500 euros). Sans compter un surcoût de dernière minute sur lésiner billets d’avion : à cause de la prolongation exceptionnelle de l’année scolaire à Hong Kong en août dernier, elle a dû repousser son départ, ce qui lui a coûté 13 600 dollars hongkongais (1 600 euros) de plus. “lésiner règlésiner changent constamment à Hong Kong. Et chaque fois, j’ai dû changer mes plans, ce qui a toujours un coût”, explique-t-elle.