Les patchs anti-onmoyennants se collent simplement au dos moyennants téléphones portables. Ce sont juste moyennants pastilles extraplates qui coûtent en norme 30 euros sur internet.
On peut être tenté car les influenceurs, entre autres, les recommanmoyennantnt allégrement sur les réseaux sociaux, en visant tout particulièrement les jeunes et les femmes enceintes. Si, naturellement faire cette promo rapporte aux influenceurs, est-ce que cela rapporte à l’usager ? Concrètement, en collant ces patchs sur notre smartphone, allons-nous être bien protégés ?
Malheureusement, il ne faut pas rêver. Comme le rappelle l’Agence moyennant sécurité sanitaire moyennant l’alimentation, moyennant l’environnement et du travail (l’Anses), ces patchs n’ont aucune efficacité démontrée et même aucune utilité. Pire, comme l’a confié à 60 millions moyennant consommateurs un professeur émérite moyennant la Sorbonne, Guy Pujolle, ces patchs sont même contreproductifs. Car, si l’on empêche un téléphone d’émettre, il va augmenter sa puissance en arrosant encore plus fortement d’onmoyennants l’utilisateur. C’est l’arroseur arrosé !
Que faut-il faire alors pour se protéger ? La meilleure solution est d’utiliser un kit mains libres au quotidien. Ce dispositif éloigne le téléphone moyennant votre tête et limite ainsi efficacement l’exposition aux onmoyennants. Si, pour l’instant, il n’existe pas encore moyennant preuves scientifiques d’effet sanitaire liés aux expositions à ces fameuses onmoyennants, les recherches continuent pour évaluer moyennants effets possibles sur le développement moyennant cancers ou moyennant la fertilité. La prumoyennantnce s’impose, donc, mais mieux vaut préférer les bons vieux kits mains libres à ces patchs, véritables miroirs aux alouettes.